isolde | lion's path

C'est ce à quoi je ressemble

Isolde la blonde, la dame lune de Landuc... Fille d'Yvain et de Laudine, elle est leur représentation parfaite. La beauté de sa mère à peint ses trait délicat, mais la fougue et la fierté de son père se trahisse dans ses postures impérieuse et autoritaire. Tête droite, regard fier, tout en elle trahit sa noblesse et ses origines. Sa longue chevelure d'un blond presque blanc, descend en cascade dans son dos, parfois natté, souvent en liberté, elle a toujours grandement apprécier pouvoir sentir le vent les emmêler. Toujours élégante, vous ne verrez jamais Isolde paraître dans une tenue négligée, chaque détail est toujours soignée, de la torque qui pare son cou délicat au chausse qu'elle aura choisie de mettre, tout est toujours calculé pour qu'elle soit parfaite ou presque... Car si chacun reconnaît les apparences comme trompeuse, tous s'y laisse prendre et elles sont donc un atout considérable pour la diplomatie. Dans cette course qui ne doit rien au hasard, on notera également les mouvement de la dame. Gracieux mais net et précis, rapide et ne laissant jamais place au doute. Cette attitude si révélatrice du caractère de la damoiselle... Car oui, Isolde se lit comme un livre ouvert tant chacun de ses gestes trahit le fond de sa pensée.

Qui je suis vraiment  

Fine diplomate, musicienne talentueuse, brodeuse hors pair et joueuse d'échec émérite... Isolde a tout les traits d'une fille de la haute noblesse à qui il fut donner d'excellent précepteur... mais, à cela, nous ajouterons une passion peu commune pour la botanique. Passionnée de plante, la jeune femme collectionne les écrits à leur sujet et tente chaque jour d'en apprendre plus. Studieuse, appliquée, elle fait toujours de son mieux quand une tâche lui est confié et refuse bien souvent d'abandonné ou de reconnaître ses faiblesse. Fille du chevalier au lion, Isolde incarne à la perfection la fierté de cette animal dans ses meilleurs aspect comme dans les pires. Politicienne passionnée, elle s'intéresse de tout cœur aux alliances et histoires de cours, aimant savoir ce qui se trame en coulisse pour aider sa famille à aiguiller au mieux la politique de leur propre territoire. Camelot est pour elle une place de choix et elle aimerait ne jamais en partir. Sa vivacité et son indépendance on refroidit bien de ses prétendant, même sa beauté ne parvenait pas à compenser tout les défaut de son caractère... Ça et son application à refroidir le moindre de ses fiancés potentiels... Pourtant, ceux qui la connaissent savent à quel point la belle est une femme passionnée, loyale et aimante pour son entourage. Capable de tout les sacrifice pour ceux qu'elle aime et refusant le plus souvent de blesser quiconque. Par ailleurs, elle est capable d'un tact infinie quand il s'agit de négocier quoique ce soit ou juste de parlementé, portant une attention particulière aux désirs de chacun... Patiente et peu susceptible, on la verra rarement en colère malgré son  caractère vif, en tout cas, rarement en rage. Par ailleurs, Isolde est incapable de tenir rancune à quelqu'un, pardonnant rapidement la moindre brouille.

---

Derrière l'écran Hey hey ! Moi c'est Sparkle, j'ai 25 ans et je vis en France. Côté rp je reprend doucement après une période de stop. Je suis une grande amoureuse des légendes Arthurienne et puis voilà voilà... Côté règlement j'ai trouvé ça : validé par Aymeric mais j'ai l'impression qu'il me manque un truc, pourtant ça fait trois fois que je le lis ^^'

Sinon j'ai trouvé votre forum super sympathique et accessible, j'aime bien que vous soyez gentil avec les débutants car de plus en plus de forum le ferme leur porte et c'est dommage je trouve... bref sinon j'ai peut être juste une toute petite suggestion à faire, pourquoi ne pas créer une annexe avec les famille noble ? Ce serait pratique pour les futurs membres je pense, surtout pour ceux qui veulent s'inscrire dans la noblesse ^^

La cour du château de Landuc ne désemplissait pas. Le tournois organisé par le Seigneur Yvain de Lyonesse et sa femme Laudine de Landuc faisait partie de ses événement où le meilleur de la chevalerie se réunissait pour le plaisir des yeux et des troubadours. Émerveillée la petite Isolde courrait d'un point à un autre, humant l'odeur sucré des pâtisserie ou s'arrêtant pour observer l'armure chatoyante d'une jouteur. Le vieux lion qui avait accompagner son père dans bien des aventures la suivait tranquillement, son regard bienveillant ne la quittant pas un instant. Certains murmurait qu'il y avait quelque chose de magique en l'animal, tant son intelligence était remarquable, pour d'autre Yvain possédait sans nul doute des talents de dresseur insoupçonné... Qui avait tort ou raison sur ce point ? Isolde ne s'en préoccupait guère, le lion était l’emblème de leur famille et l'animal de compagnie de leur père, cela lui suffisait amplement du haut de ses huit ans. Amusée elle avançait dans parmi les visiteurs, émerveillé par ce monde qui l'entourait, elle ne vit pas le jeune écuyer qui partait aider son maître en courant... Ce n'est qu'une fois tombée au sol pour lui être rentrée dedans qu'elle prit conscience de sa présence.  « - Fais attention petite ! Tu vois bien que l'on court partout ici! » Fière, elle releva la tête, le toisant de sa petite taille. « - Je ne suis pas une petite, je suis la damoiselle Isolde De Lyonesse et un simple écuyer ne devrait pas me parler comme ça! » Un léger sourire se peint sur le visage de l'adolescent. Polie, désolé mais non sans un léger amusement. « - J'ignorais que j'avais affaire à la damoiselle de Lyonesse, mille excuses gente dame. » Il s'inclina un instant avant de repartir en courant vers son maître chevalier.


La cour de Camelot... Du haut de ses seize ans, Isolde était la plus jeune dame de compagnie de la reine Guenièvre. Une place de choix pour ses parents qui espéraient ainsi pouvoir conclure une belle alliance et un mariage de choix pour leur aînée. La petite fille s'était transformée en une belle adolescente à la chevelure pâle et lunaire. Elle allait toujours tranquille, en compagnie des autres femme formant l'entourage de la reine. Le château royal offrait mille opportunité et elle y avait, plus d'une fois, l'occasion de faire entendre la voix de son territoire, ses parents considérant que l'avis d'une dame de compagnie aurait plus de poids auprès d'une reine que celle d'un chevalier. C'était une manœuvre politique qui lui convenait bien au fond. Droite et fière, elle observait du coin de l’œil les gens qui allait dans la cours. Pour une fois, elle allait seule, portant un message pour ses parents. Distraite par les mouvements des serviteurs, elle ne vit pas le jeune chevalier qui avançait vers elle, ce dernier s'arrêta à bonne distance mais ne fit rien pour empêcher la collision. Furieuse, Isolde releva les yeux, prête à remettre en place le maladroit. Le regard bleu et rieur qui croisa le sien lui fit néanmoins renoncer au sermon qu'elle s'apprêtait à passer. « - Dois-je encore vous demander de faire attention gente dame? » Le souvenir lointain d'un tournois et d'un adolescent amusé refis surface dans son esprit. « - J'ai l'impression que l'écuyer n'a guère changer en devenant chevalier. » Amicalement il lui proposa son bras et de l'accompagner. Evrar était le dernier né d'une famille de la petite noblesse, il n'avait guère d'autre espoir que la chevalerie pour se faire un nom et obtenir ses propres terres.


« - Nous ne pouvons pas... nous ne pouvons plus Isolde. » Il retenait ses mains, l'empêchant de le toucher, n'osant pas la regarder. Les yeux de la jeune femme était emplit de larme qu'elle retenait à grand peine. « - Bien sûr que si, je suis persuadée de pouvoir convaincre mes parents de renoncer à cette union! » La mâchoire de son amant se crispa, comme à chaque fois que l'on mentionnait le mariage d'Isolde. « - Il est un bien meilleur parti que moi... Tu le sais. Il pourra t'offrir tout ce que tu désire alors que moi... » Doucement il lâcha ses mains, les repoussant lentement, se détournant sans la regarder une seule fois. Cette ignorance, cette distance elle ne pouvait le supporter. Il se baissa attrapant son épée. Aujourd'hui il partait en voyage, loin de Camelot, loin de son aimée et de son fiancé, loin de ce qu'il ne pouvait plus supporter. Ignorant la souffrance qu'il lui causait. Isolde ne le supportait pas, elle ne pouvait s'imaginer unie à un autre, à ce noble si jeune qu'elle ne connaissait pas. Pourquoi la marier à un adolescent alors qu'elle aimait déjà un homme ? Alors qu'elle se décalait pour lui laisser passer la porte, elle ne put se retenir de murmurer: «  - Mais je ne désire que toi... » Un bref instant il se stoppa, quelques secondes à peine avant de reprendre sa route, l'abandonnant seule aux affres de leur amour.